De l’usage des fake-psy en impro.
Dans ce billet, je trace une ligne entre « l’impro-fake-thérapie », que je n’ai peut-être pas été le dernier à promouvoir, et l’inspiration artistique.
Et j’explique pourquoi, maintenant, je choisis la deuxième.
Gagneur : L’ivresse de l’altitude, ivresse des profondeurs. Partie 2
Alors donc que faire quand on se sent tout le temps de sauver l’impro, le spectacle, voire sauver tout le monde entier de l’impro?
Gagneur : L’ivresse de l’altitude, ivresse des profondeurs. Partie 1
J’ai récemment fait l’expérience du point auquel je pouvais être désagréable en impro il y a à peine plus d’un an…